gaza Archives - SELVAGGIO PICCOLO MONDO

PRIX NOBEL POUR TRUMP, PAIX IMMÉDIATE AVEC POUTINE. L’IDIOCRATIE EUROPÉENNE HUMILIÉE

12/2/25 – En 2009, le prix Nobel de la paix le plus ridicule de l’histoire a été décerné. Il a été attribué au président américain Barack Obama. Fraîchement élu. Alors qu’il n’avait encore rien fait. Parce que, disait-on, il allait instaurer la paix au Moyen-Orient. Ce qu’il n’a jamais fait. Au contraire, il a financé et armé les guerres en Syrie et en Libye, aidant et finançant les milices jihadistes, y compris les atroces salafistes violeurs et assassins de l’État islamique (ISIS). Officiellement, la motivation disait : « pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie internationale et de la coopération entre les peuples ». Vraiment ? Une mascarade. Et une banalité absolue. Mais le premier président noir des États-Unis était déjà une icône à la mode dans les bons salons de la politique européenne. Personne n’a protesté.

Caricature, Trump ignore les éuropéens, pour Poutine

Aujourd’hui, le prochain prix Nobel de la paix devrait logiquement être attribué à l’anti-Obama par excellence. Le haï et craint – surtout dans les bons salons européens – Donald Trump, sanguin et anarchiste, qui est revenu au pouvoir avec une poigne de fer. Il a déjà imposé, lui, une trêve (qui ne tiendra pas, car la pieuvre Hamas est encore vivante et puissante) dans la Grande Guerre de Gaza. Et, à peine quelques semaines après son installation à la Maison-Blanche, Trump a annoncé aujourd’hui avoir convenu, lors d’un long et cordial entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, du lancement « immédiat » de négociations pour mettre fin à la guerre la plus absurde du siècle : celle d’Ukraine. Une guerre qui, selon lui, n’aurait jamais éclaté s’il avait été à la Maison-Blanche il y a deux ans, à la place du sénile Joe Biden.

Trump a déjà initié le processus de paix avec Poutine, un acteur clé pour la maîtrise des tensions internationales, que l’Occident, aligné sur Biden, a stupidement diabolisé et isolé au cours des deux dernières années. Alimentant ainsi une guerre insensée aux frais des contribuables américains et européens. Une guerre qui n’aurait jamais éclaté si l’Occident avait respecté les engagements pris avec Moscou lors du démantèlement de l’URSS. À savoir, ne pas permettre l’expansion de l’OTAN jusqu’aux frontières russes. Trump a remis à sa place le président ukrainien Zelensky, cet « idiot utile » utilisé par Biden et les dirigeants européens pour tenter d’humilier le géant russe, première puissance nucléaire mondiale. Zelensky a été transformé par une presse « militarisée » – selon l’ex-leader de Podemos, Iglesias – en une pathétique figure de Robin des Bois de la liberté, à qui l’on a offert des centaines de milliards, toujours prélevés dans les poches des contribuables européens et américains, pour entretenir une guerre insensée et inutile. Une guerre que la Russie ne pouvait de toute façon pas perdre et qui n’intéressait absolument pas l’Union européenne. Mais les dirigeants européens, de Macron à Scholz, trop jeunes pour avoir vécu les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, se sont enflammés d’adrénaline et d’un furieux élan guerrier, se transformant en petits Napoléons. Oubliant ainsi de défendre les intérêts de leurs propres citoyens.

Caricature Zelensky

De l’argent jeté par les fenêtres pour une guerre perdue d’avance. Des fonds qui ont surtout servi à nourrir la corruption du régime ukrainien et à accélérer le massacre de centaines de milliers de jeunes Russes et Ukrainiens. Sans oublier l’appauvrissement des classes moyennes européennes et les gains faramineux engrangés par les spéculateurs, les banques et les magnats de l’industrie de l’armement.

Avec Trump, le bon sens revient. Le plan de paix du président américain confirmera en grande partie les revendications de la Russie. Avec un cessez-le-feu le long des lignes actuelles du conflit, la reconnaissance des droits de Moscou sur la Crimée et les régions russophones d’Ukraine, un veto sur l’adhésion de Kiev à l’OTAN, mais un « oui » à son intégration dans l’UE (une manœuvre astucieuse qui affaiblirait un concurrent commercial des États-Unis en absorbant un pays pauvre et hautement problématique). Un véritable boomerang pour l’Europe, perçue par Trump comme une rivale gênante. Toutes ces mesures sont logiques et inévitables, et sans la dangereuse stupidité des dirigeants occidentaux, elles auraient permis d’éviter dès le départ la guerre, la mort de milliers de jeunes des deux pays, l’explosion des prix en Europe et l’appauvrissement constant des classes moyennes. Il n’est d’ailleurs pas anodin que, lors de l’annonce des négociations avec Poutine, Trump ait complètement ignoré et humilié les « petits » Européens, pour négocier avec un interlocuteur qu’il respecte et considère à sa hauteur.

LA RÉVOLUTION TRUMP

À peine arrivé à la Maison-Blanche – et même avant – Trump a immédiatement commencé à transformer la politique et les relations internationales. Qu’on l’aime ou non. Il a propulsé Elon Musk (son successeur potentiel ?) dans une croisade contre la corruption et le gaspillage dans l’administration publique, ce qui devrait restituer des centaines de milliards aux contribuables américains. Il a lancé la fin de l’hystérie destructrice du « politiquement correct », qui contribue aujourd’hui à l’impuissance et au déclin de l’Europe. Face aux nouveaux leaders forts du « nouveau monde » – Trump, Poutine, le sultan néo-ottoman Erdogan, le Chinois Xi Jinping et l’Argentin Javier Milei – qui se partagent déjà le monde au détriment de la vieille Europe.

Trump affirme avec force les intérêts stratégiques des États-Unis. Il détient un pouvoir sans précédent. Et il l’exerce. Il lance des propositions que personne d’autre n’oserait formuler. Mais qui pourraient changer la face du monde. Comme l’idée de « racheter » le Groenland, caverne d’Ali Baba des matières premières et sentinelle stratégique des routes commerciales nordiques, ou encore de prendre le contrôle de la bande de Gaza, en déplaçant une grande partie de sa population (provisoirement ?), en éradiquant définitivement la « tumeur » Hamas et en reconstruisant sur les ruines de la guerre une oasis touristique garantissant la prospérité de ses habitants et la coexistence pacifique entre Israéliens et Palestiniens. Certes, le projet présente d’innombrables difficultés. Trump n’exclut pas non plus de donner son feu vert à une annexion de la Cisjordanie par Israël. Une autre bombe lancée contre le statu quo mondial. Des propositions brutales, politiquement incorrectes, venant d’un homme de pouvoir qui veut l’exercer, mais qui, peut-être, au bout du compte, pourraient mener – à haut risque – à la fin du conflit israélo-palestinien. Et quant au prix Nobel, qui osera le lui refuser… ?

NOBEL PRIZE FOR TRUMP, IMMEDIATE PEACE WITH PUTIN. EUROPEAN IDIOCY HUMILIATED

12/2/25 – In 2009, the most ridiculous Nobel Peace Prize in history was awarded. It went to U.S. President Barack Obama. Newly elected. When he had not yet done anything. Because, it was said, he would bring peace to the Middle East. But he did not. Instead, he financed and armed the wars in Syria and Libya, aiding and funding jihadist militias, including the atrocious, rapist, and murderous ISIS Salafists. Officially, the justification read: “for his extraordinary efforts to strengthen international diplomacy and cooperation between peoples.” Really? A farce. And an absolute banality. But the first black U.S. president was already a trend, an icon in the elite circles of European politics. No one objected.

Now, the next Nobel Peace Prize should logically go to the ultimate anti-Obama. The hated and feared —especially in Europe— fiery and anarchic Donald Trump, who has returned to power with an iron fist. He has already imposed a truce (which won’t last because the Hamas octopus is still alive and strong) in the Great War of Gaza. And just weeks after taking office at the White House, today Trump announced that he had agreed, in a long and cordial phone call with Vladimir Putin, to the “immediate” start of negotiations to end the most absurd war of the century: the one in Ukraine. A war that, according to him, would never have started if he, and not the senile Joe Biden, had been in the White House two years ago.

Trump has already launched the peace process with Putin, a key figure for controlling international tensions, whom the West, aligned with Biden, has foolishly demonized and isolated over the past two years. This has fueled a senseless war at the expense of American and European taxpayers—a war that would never have started if the West had honored the commitments made with Moscow after the dismantling of the USSR. Namely, not allowing NATO’s expansion up to Russia’s borders. Trump has put Ukrainian President Zelensky in his place—the “useful idiot” used by Biden and European leaders to try to humiliate the Russian giant, the world’s first nuclear power. Zelensky has been turned, by a “militarized” press—according to former Podemos leader Iglesias—into a pathetic Robin Hood-style freedom fighter, to whom hundreds of billions have been gifted, always from the pockets of European and American taxpayers, to fuel a senseless and futile war. A war that Russia could not lose and that was of no interest to the European Union. But EU leaders, from Macron to Scholz—too young to have lived through the horrors of World War II—became intoxicated with adrenaline and warrior-like fury, transforming themselves into little Napoleons. Forgetting to protect the interests of their own citizens.

Money thrown out the window for a war lost from the outset. Funds that primarily served to fuel corruption in the Ukrainian regime and accelerate the slaughter of hundreds of thousands of young Russians and Ukrainians. While also impoverishing Europe’s middle classes and ensuring astronomical profits for speculators, banks, and arms industry tycoons.

With Trump, common sense returns. The U.S. president’s peace plan will largely confirm Russia’s claims. With a ceasefire along the current battle lines, recognition of Moscow’s rights over Crimea and the Russian-speaking regions of Ukraine, a veto on Ukraine’s NATO membership, but a “yes” to its accession to the EU (a shrewd move that would weaken a U.S. trade competitor by absorbing a poor and highly problematic country). A boomerang for Europe, which Trump sees as an annoying competitor. All logical and inevitable moves that, without the dangerous stupidity of Western leaders, would have prevented the war, the deaths of countless young men from both countries, the explosion of prices in Europe, and the constant impoverishment of the middle class. It is no coincidence that, in announcing negotiations with Putin, Trump completely ignored and humiliated the “small” Europeans—to negotiate with a figure he respects and considers his equal.

THE TRUMP REVOLUTION

As soon as he arrived at the White House—and even before—Trump immediately began transforming politics and international relations. Whether one likes it or not. He has propelled Elon Musk (his potential successor?) into a crusade against corruption and waste in public administration, which should return hundreds of billions to American taxpayers. He has promoted the end of the destructive hysteria of “political correctness,” which today contributes to Europe’s impotence and decline. Against the new strong leaders of the “new world”—Trump, Putin, the neo-Ottoman sultan Erdogan, the Chinese Xi Jinping, and the Argentine Javier Milei—who are already dividing the world at the expense of old Europe.

Zelinsky caricature

TRUMP’S BOMBSHELLS

Trump forcefully asserts the strategic interests of the United States. He holds unprecedented power in his hands. And he uses it. He makes proposals that no one else would dare put forward. But that could change the face of the world. Like the idea of “buying” Greenland, the Aladdin’s cave of raw materials and now a strategic sentinel for northern trade routes, or taking control of the Gaza Strip, relocating much of its population (temporarily?), permanently eradicating the “tumor” of Hamas, and rebuilding a tourist oasis on the ruins of war to guarantee prosperity for its inhabitants and peaceful coexistence between Israelis and Palestinians. Of course, the project presents infinite difficulties. Trump does not even rule out greenlighting an Israeli annexation of the West Bank. Another bomb thrown at the global status quo. Brutal, politically incorrect proposals from a man who wields power and intends to use it—but which, in the end, might just bring an end—albeit at high risk—to the eternal Israeli-Palestinian conflict. And as for the Nobel Prize—who will dare to deny it to the new most powerful man on the planet…?

PREMIO NOBEL A TRUMP, SUBITO PACE CON PUTIN. UMILIATA L’IDIOZIA EUROPEA

12/2/25 – Nel 2009 venne assegnato il Nobel per la Pace più ridicolo della storia appunto dei Premi Nobel. Andò al presidente americano Barak Obama. Appena eletto. Che ancora non aveva fatto nulla. Perchè, si diceva, avrebbe fatto la pace in Medio Oriente. Che non fece. Invece finanziò e armò le guertre di Siria e Libia, aiutando e finanziando le milizie jihadiste, fra cui gli atroci salafiti violentatori e massacratori dell’Isis. Ufficialmente la motivazione diceva “per gli sforzi straordinari nel rafforzare la diplomazia internazionale e la cooperazione fra i popoli”. Ma no? Una pagliacciata. E una banalità assoluta. Ma il primo presidente Usa di colore era già di moda, icona nei salotti buoni della politica europea. Nessuno fece obiezioni..

Ora il prossimo Nobel per la Pace logicamente dovrebbe andare all’anti-Obama. per eccellenza. L’odiato e temuto – sempre nei salotti buoni europei – sanguigno e anarcoide Donald Trump, tornato al potere con pugno di ferro. Lui si, ha già imposto una tregua (che non reggerà, perchè la piovra Hamas è ancora viva e forte) nella Grande Guerra di Gaza. E a poche settimane dall’insediamento alla Casa Bianca, oggi Trump ha annunciato di avere concordato in una lunga e cordiale telefonata con Vladimir Putin, l’avvio “immediato” di trattative per porre fine alla guerra più stupida del secolo, quella d’Ucraina. Che non sarebbe mai iniziata, ha garantito, se alla Casa Bianca due anni fa ci fosse stato lui e non il senile Joe Biden.

Trump ha già lanciato il processo di pace con Putin, uomo essenziale per il controllo delle tensioni internazionali ,che l’Occidente, allineato su Biden, ha stupidamente demonizzato e isolato negli ultimi due anni. Alimentando una guarrea assurda, a spese dei contribuenti americani e europei, che non sarebbe mai inziata se l’Occidente avesse mantenuto gli impegni presi con Mosca all momento dello smantellamento dell’Urss. Non permettere l’ìespansione della Nato fino alle frontiere russe. Trump ha rimesso al suo posto il presidente urcraino Zelensky, utile idiota usato da Biden e dai dirigenti europei per cercare di umiliare il gigante russo. Prima potenza nucleare del mondo. Zelensky è stato trasformato da una stampa ‘militarizzata’ secondo l’ex-leader di Podemos Iglesias, in una patetica contro figura di Robin Hood della libertà, cui sono state regalate centinaia di miliardi presi sempre nelle tasche dei contribuenti europei e americani per alimentare una guerra insensata. E inutile. Che la Russia comunque non poteva perdere. E che non interessava assolutamente l’Unione Europea. Ma i leader europei da Macron a Sholz, troppo giovani per avere vissuto gli orrori dell’ultima guerra mondiale, si sono gonfiati di adrenalina e di virile furore guerriero, trasformandosi in novelli piccoli Napoleone. Dimenticando di tutelare gli interessi dei propri cittadini.

Soldi buttati dalla finestra, per una guerra persa in partenza. Serviti soprattutto per alimentare la corruzione del regime ucraino e accelerare il macello di centinaia di migliaia di giovani russi e ucraini. Nonchè impoverire le classi medie europee e garantire incasssi faraonici a speculatori, banche e boss degli armamenti.

Con Trump torna il buon senso. Il piano di pace del presidente Usa in buona parte confermerà le ragioni della Russia. Con un cessate il fuoco sulle linee attuali di conflitto, il riconoscimento dei diritti di Mosca sulla Crimea e sulle regioni russe dell’Ucraina, un veto all’adesione di Kiev alla Nato, ‘si’ invece a quella all’Ue (una mossa astuta che indebolirebbe un concorrente commerciale degli Usa, con l’assorbimento di umn paese povero e ultra problematico. Un boomerang per l’Europa, vista da Trump come una fastidiosa concorrente. Tutte mosse logiche e ineluttabili, che senza la pericolosa apparente stupidità dei leader occidentali avrebbero permesso fin dall’inizio di evitare la guerra, la morte di una infinità di ragazzi dei due paesi, l’esplosione dei prezzi in Europa, l’impoverimento costante delle se classi medie. Non a caso nell’ annunciare le trattative con Putin, Trump ha ignorato e umiliato completamente i ‘piccoli’ europei. Per trattare con un personaggio che stima e considera alla sua altezza.

RIVOLUZIONE TRUMP – Appena arrivato alla Casa Bianca, e già prima, il tycoon ha subito iniziato a trasformare la politica e le relazioni internazionali. Piaccia o non piaccia. Ha lanciato Elon Musk (suo possibile successore?) in una crociata contro corruzione e sprechi nell’amministrazione pubblica, che dovrebbe riportare nelle tasche dei contribuenti americani centinaia di miliardi, ha promosso la fine dell’isteria distruttiva del politicamente corretto. Che oggi contribuisce all’impotenza e al declino dell’Europa. Nei confronti dei nuovi leader forti nel ‘nuovo mondo’, Trump, Putin, il sultano neo-ottomano Erdogan, il cinese Xi Jinping, o l’argentino Javier Milei. Che già si stanno dividendo il mondo a sopese della vecchioa Europa.

caricatura Zelensky

Trump afferma con forza gli interessi strategici degli Stati Uniti. Ha nelle mani un potere senza precedenti. E lo usa. Lancia proposte che nessun altro oserebbe avanzare. Ma che potrebbero cambiare la faccia del mondo. Come quella di ‘comprare’ la Groenlandia, caverna di Ali Babà delle materie prime e ora sentinella strategica dei collegamenti del nord, o di prendere in mano la Striscia di Gaza, trasferendo buona parte dei suoi abitanti (provvisoriamente?) , sradicando definitivamente il tumore Hamas, ricostruire sulle macerie della guerra una oasi turistica che garantisca la prosperità dei suoi abitanti, e l’esistenza in pace di israeliani e palestinesi. .Certo, il progetto presenta infinite difficoltà. Trump non esclude neppure di dare il via libera a una annessione della Cisgiordania da parte di Israele. Un’altra bomba lanciata sullo status quo mondiale. Proposte brutali, politicamente scorrette, di un uomo di potere, e che vuole esercitarlo, ma che forse, alla fine, potrebbero portare alla fine, certo ad alto rischio, dell’eterno conflitto israelo-palestinese. E il Nobel, allo scomodo nuovo uomo più potente, del pianeta chi oserà toglierglielo…..

GAZA, THE COSTA BRAVA OF THE MIDDLE EAST. TRUMP’S BIG IDEA. BUT…

February 5, 2025 – A brilliant idea. Or a crazy one. Forty kilometers of golden beaches, blue waters, romantic sunsets, white-and-blue houses, and dazzling seaside resorts. A dream. But in Gaza… Such a wild project could only come from Donald Trump, the anarchic new U.S. president and the most powerful and unpredictable man on the planet. The idea is simple—and perhaps full of common sense.

After 15 months of Israeli bombings in response to Hamas’ atrocities on October 7, 2023, Gaza is now a heap of ruins. 90% destroyed. Uninhabitable. Reconstruction will take years and massive investments. And there is a high likelihood that, if Hamas retains control of the Strip, everything will eventually be destroyed again. Hamas seeks to wipe Israel and its Jewish inhabitants off the map. Though weakened by 15 months of war, it still controls Gaza—and its population, unable to rebel after 20 years of Islamic dictatorship and jihadist brainwashing in schools. Hamas has lost 30,000 fighters but has already recruited 15,000 new ones, many of them very young.

Trump’s plan appears, on paper, to be the only one that could provide a solution—albeit an unbalanced, terrible, and radical one—to the endless, irresolvable Israeli-Palestinian conflict. And theoretically, if implemented properly, it could finally allow both Israelis and Palestinians to live well and in peace—something that will never be possible with Hamas, which Israeli Prime Minister Netanyahu and Trump himself have vowed to destroy.

But Hamas cannot be eradicated in the foreseeable future. It is a cancer with metastases throughout Palestinian society. It is the most powerful force in Gaza, but also the most popular one in the West Bank. Weak and corrupt, Fatah—the party once led by Yasser Arafat and now headed by the aging President Mahmoud Abbas—would be swept away if Palestinians were finally allowed to vote after 20 years.

Certainly, Trump’s plan could resolve everything—or almost. It would uproot Hamas by emptying Gaza and relocating its two million residents elsewhere (but where? No one wants them!). The Strip could then be rebuilt as a profitable tourist paradise under American control. But for whom? At least some of its Palestinian inhabitants would have to return, “cleansed” of Hamas. Trump’s plan faces countless obstacles. The majority of Gaza’s two million Palestinians do not want to leave. Perhaps with strong incentives (funded by Saudi petrodollars and Gulf countries, as Trump suggests), many might agree. During the war, many would have fled to Sinai if Egypt had not closed its border. Then, countries willing to temporarily host two million people—many of whom have been indoctrinated by Hamas—would need to be found. And that includes tens of thousands of Islamist militants/terrorists and their families, as well as criminal clans allied with Hamas. Despite public declarations of solidarity, no Arab state wants the Palestinians, fearing terrorist infiltration.

Massacres of Palestinians have already occurred in Lebanon and Jordan. Amman and Cairo have made it clear they will not accept them. Perhaps Trump could persuade them with his characteristic “carrot and stick” strategy (mostly stick, in the form of tariffs), which he has previously applied to Mexico, Canada, and Colombia.Even Turkey, under “Sultan” Erdoğan, wants nothing to do with it and denounces the forced displacement of Palestinians as illegitimate cruelty—conveniently forgetting the ethnic cleansing it carried out in 1974 during the invasion of northern Cyprus, which it still occupies, having terrorized and forced 200,000 Cypriots into exile. Then there is the explosive issue of the West Bank—the other half of the impoverished pseudo-Palestinian state, now reduced to a patchwork of Israeli settlements, often built by violent settlers. This makes a “two-state solution” practically impossible.

Trump has promised to announce within a month whether Israel should annex the West Bank—a move that would trigger a bloody uprising. And at the end of the current ceasefire in Gaza, the war could resume. Israel, as Netanyahu reiterated in Washington, “wants to destroy Hamas.”.Trump’s Gaza project might be more of a provocation—perhaps a bargaining chip in negotiations with the Arab world that could lead to the partial implementation of the plan. During his first term, Trump achieved surprising results: he moved the U.S. embassy from Tel Aviv to Jerusalem, recognizing it as Israel’s capital—a historic decision. He also brokered the Abraham Accords between Israel, Bahrain, and the UAE. Back then, however, he had the support of Putin’s Russia—now demonized by the West over the absurd war in Ukraine. Trump now plans to rebuild ties with the Russian leader. The American president is more powerful than ever, and he seems determined to reshape the world.

And of course, he wouldn’t mind a Nobel Peace Prize.

Francesco Cerri

International journalist. Originally a specialist in European politics and security. War correspondent in Sarajevo during the Balkan War, and at the International Criminal Tribunal for the Milosevic trial. Correspondent in Israel/Palestine during the Intifada, in Turkey during the Syrian war and the Gezi Park uprising. Also covered the Indignados movement in Spain and Portugal. Honorary President of the European Parliamentary Press. Knight of the Italian Republic.

GAZA, LA COSTA BRAVA DU MOYEN-ORIENT. UNE GRANDE IDÉE DE TRUMP. MAIS…

05/02/2025 – Une idée géniale. Ou insensée. Quarante kilomètres de plages dorées, des eaux bleues, des couchers de soleil romantiques, des maisons blanches et bleues, des complexes hôteliers scintillants en bord de mer. Un rêve. Mais à Gaza…

Seul Donald Trump, l’anarchiste nouveau président des États-Unis, homme le plus puissant et imprévisible de la planète, pouvait concevoir un projet aussi fou. L’idée est simple. Et peut-être pleine de bon sens. Après 15 mois de bombardements israéliens, déclenchés en réponse aux atrocités du Hamas le 7 octobre 2023, Gaza est aujourd’hui un amas de ruines. Détruite à 90%. Inhabitable. Sa reconstruction prendra des années. Nécessitera des investissements colossaux. Et avec une forte probabilité, si le Hamas maintient son contrôle sur la bande de Gaza, que tout soit de nouveau réduit en cendres tôt ou tard. Le Hamas veut effacer Israël et ses habitants juifs de la surface du monde. Il sort très affaibli de ces 15 mois de guerre, mais conserve le contrôle de Gaza. Et de ses habitants. Incapables de se révolter. Après 20 ans de dictature islamique et de lavage de cerveau jihadiste anti-israélien dans les écoles. L’organisation a perdu 30 000 combattants, mais en a déjà recruté 15 000 nouveaux, dont beaucoup de très jeunes.

Un plan aussi radical que controversé

Sur le papier, le plan de Trump semble être le seul qui pourrait apporter une solution – déséquilibrée, terrible, radicale – à l’éternel conflit israélo-palestinien, réputé insoluble. Et, en théorie, s’il est bien mis en œuvre, il pourrait permettre aux Israéliens et aux Palestiniens de vivre enfin en paix et dans de bonnes conditions. Chose qui ne sera jamais possible avec le Hamas. Que le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, et Trump lui-même ont promis de détruire. Mais le Hamas ne pourra pas être éradiqué dans un avenir proche. C’est un cancer aux métastases profondément enracinées dans la société palestinienne. C’est la force la plus puissante à Gaza, mais aussi la plus populaire en Cisjordanie. Affaibli, corrompu, le Fatah – qui fut le parti de Yasser Arafat et qui est aujourd’hui dirigé par le président vieillissant Mahmoud Abbas – serait balayé si des élections avaient enfin lieu après 20 ans d’attente.

Certes, le plan de Trump pourrait tout résoudre. Ou presque. Il éradiquerait le Hamas en vidant Gaza et en transférant ailleurs (mais où ? Aucun pays n’en veut !) ses deux millions d’habitants. La bande de Gaza pourrait être reconstruite comme un paradis touristique rentable, sous contrôle américain. Mais pour qui ? Une partie au moins de ses habitants palestiniens devrait revenir. Après avoir été « purgée » du Hamas.

Un projet semé d’embûches

Le plan de Trump comporte des difficultés infinies. La majorité des deux millions de Palestiniens de Gaza ne veulent pas partir. Peut-être qu’avec de fortes incitations financières (payées par les pétrodollars de l’Arabie saoudite et des pays du Golfe, selon Trump), beaucoup pourraient accepter. Pendant la guerre, nombreux sont ceux qui auraient fui vers le Sinaï si la frontière n’avait pas été fermée par l’Égypte.Il faudrait ensuite trouver des pays prêts à accueillir, au moins temporairement, ces deux millions de personnes, en grande partie endoctrinées par le Hamas. Et parmi elles, des dizaines de milliers de combattants/terroristes islamistes avec leurs familles, ainsi que des membres de clans criminels alliés au Hamas.

Au-delà des déclarations publiques de solidarité, aucun État arabe ne veut accueillir les Palestiniens. Par crainte d’une contagion terroriste. Des massacres de Palestiniens ont déjà eu lieu au Liban et en Jordanie. Amman et Le Caire ont clairement indiqué qu’ils ne les accepteraient pas. Peut-être que Trump pourrait les convaincre avec sa stratégie habituelle de la carotte et du bâton (surtout du bâton/sanctions douanières), qu’il a déjà appliquée avec le Mexique, le Canada et la Colombie. Même la Turquie du « sultan » Erdoğan refuse d’en entendre parler et dénonce la cruauté illégitime du déplacement forcé des Palestiniens. En oubliant la purification ethnique qu’elle a pratiquée en 1974 lors de l’invasion du nord de Chypre – qu’elle occupe toujours – en terrorisant et forçant à l’exil 200 000 Chypriotes.

Et la Cisjordanie ?

Reste le problème explosif de la Cisjordanie. L’autre moitié de ce pseudo-État palestinien pauvre, aujourd’hui réduite à une peau de léopard par l’implantation continue de colons israéliens souvent violents. Un fait qui rend pratiquement impossible la solution des « deux États ». Trump a promis de se prononcer d’ici un mois sur une possible annexion de la Cisjordanie par Israël. Ce qui déclencherait une insurrection sanglante. Et à la fin de ce mois de trêve à Gaza, la guerre pourrait reprendre. Israël, a réaffirmé Netanyahou à Washington, veut « détruire le Hamas ».

Le projet de Trump pour Gaza pourrait être une sorte de provocation. En vue d’une négociation avec le monde arabe qui aboutirait à une mise en œuvre partielle du plan. Lors de son premier mandat à la Maison-Blanche, Trump avait déjà obtenu des résultats surprenants. Il avait déplacé l’ambassade américaine à Jérusalem depuis Tel-Aviv, la reconnaissant comme capitale d’Israël. Une décision historique. Il avait aussi obtenu la signature des Accords d’Abraham entre Israël, Bahreïn et les Émirats arabes unis. À l’époque, il avait l’appui de la Russie de Poutine, aujourd’hui diabolisée par l’Occident pour la guerre absurde en Ukraine. Trump envisage désormais de renouer avec le leader russe.Le président américain est plus puissant que jamais et semble déterminé à changer la face du monde.

Il ne serait certainement pas contre un prix Nobel de la paix.

Francesco Cerri

Journaliste international. Spécialiste de politique européenne et de sécurité. Envoyé à Sarajevo pendant la guerre des Balkans et au Tribunal pénal international lors du procès Milosevic. Correspondant en Israël/Palestine pendant l’Intifada, en Turquie pendant la guerre en Syrie et la révolte de Gezi Park. En Espagne avec les Indignados et au Portugal. Président honoraire de la presse parlementaire européenne. Chevalier de la République Italienne.

GAZA, COSTA BRAVA DEL MEDIO ORIENTE. GRANDE IDEA DI TRUMP. MA….

5/2/25 – Un’idea geniale. O demenziale Quaranta chilometri di spiagge dorate, acque azzurre, tramonti romantici, casette bianche e azzurre, resort scintillanti lungo il mare. Un sogno. A Gaza però… Il folle progetto poteva venire in mente solo a Donald Trump, anarcoide nuovo presidente Usa e uomo più potente e imprevedibile del pianeta. L’idea è semplice. E forse piena di buon senso. Dopo 15 mesi di bombardamenti israeliani, scattati in risposta alle atrocità di Hamas il 7 ottobre 2023, Gaza oggi è un cumulo di rovine. Distrutta al 90%. Inabitabile. La ricostruzione richiederà anni. Enormi investimenti. Con buone probabilità, se Hamas mantiene il controllo della Striscia, che tutto venga di nuovo distrutto prima o poi. Hamas vuole cancellare dalla superficie del mondo Israele e i suoi abitanti ebrei. Esce molto indebolita dai 15 mesi di guerra. Ma conserva il controllo di Gaza. E dei suoi abitanti. Incapaci di ribellarsi. Dopo 20 anni di dittatura islamica e di lavaggio di cervello jihadista, anti-israeliano nelle scuole. Ha perso 30mila miliziani. Ma ne ha già reclutati 15mila nuovi, molti giovanissimi.

Il piano di Trump sembra, sulla carta, il solo che potrebbe dare una soluzione – sbilanciata, terribile, radicale – all’irrisolvibile eterno conflitto israelo-palestinese. E in teoria, se attuato bene, permettere a israeliani e palestinesi, finalmente, di vivere bene e in pace. Cosa che non sarà mai possibile con Hamas. Che il premier israeliano Netanyahu e lo stesso Trump hanno promesso di distruggere. Hamas non potrà essere sradicato in un futuro prevedibile. È un cancro con metastasi in tutta la società palestinese. È la forza più potente a Gaza, ma anche la più popolare in Cisgiordania. Debole, corrotto, il Fatah, che fu di Yasser Arafat, oggi guidato dall’anziano presidente Abu Mazen, sarebbe spazzato via se oggi, dopo 20 anni, ci fossero finalmente delle elezioni fra i palestinesi. Certo il piano di Trump potrebbe risolvere tutto. O quasi. Sradicherebbe Hamas, svuotando Gaza e trasferendo altrove (ma dove? non li vuole nessuno!) i suoi due milioni di abitanti. La Striscia potrebbe essere ricostruita come un proficuo paradiso turistico. Sotto controllo americano. Ma per chi? Almeno una parte dei suoi abitanti palestinesi dovrebbe tornare. ‘Ripulita’ da Hamas..

Il piano di Trump comportainfinite difficoltà. La maggior parte dei due milioni di palestinesi di Gaza a priori non vogliono andarsene. Forse con forti incentivi (pagati con i petrodollari di Arabia Saudita e paesi del Golfo, propone Trump) molti potrebbero accettare. Durante la guerra tanti sarebbero fuggiti nel Sinai se la frontiera non fosse stata chiusa dall’Egitto. Bisognerebbe poi trovare paesi disposti ad accogliere almeno provvisoriamente due milioni di persone per buona parte indottrinate da Hamas. E decine di migliaia di miliziani/terroristi islamici con le loro famiglie, di membri dei clan malavitosi che affiancano Hamas. Al di là delle dichiarazioni di solidarità pubbliche nessuno stato arabo vuole i palestinesi. Per timore di un contagio terrorista. Già ci sono stati massacri di palestinesi in Libano e in Giordania. Amman e il Cairo hanno chiarito che non li accoglieranno. Forse Trump potrebbe convincerli con la sua caratteristica strategia del bastone e della carota (soprattutto bastone/dazi), già applicata con Messico, Canada e Colombia. Anche la Turchia del ‘sultano’ Erdogan non ne vuole sapere. E denuncia la illegittima crudeltà dello spostamento forzoso dei palestinesi. Dimenticando la pulizia etnica che ha praticato nel 1974 durante l’invasione del nord di Cipro – che tuttora occupa – terrorizzando e costringendo e all’esilio forzoso 200mila ciprioti.

C’è poi l’esplosivo problema della Cisgiordania. L’altra metà del povero pseudo stato palestinese, ormai ridotta a una pelle di leopardo dalla continua invasione di coloni israeliani spesso violenti. Un fatto che rende praticamente impossibile la soluzione dei ‘due stati’. Trump ha promesso di pronunciarsi entro un mese sulla sua possibile annessione da parte di Israele. Che scatenerebbe una sanguinosa insurrezione. E alla fine di questo mese di tregua a Gaza, la guerra potrebbe riprendere. Israele, ha ribadito Netanyahu a Washington, “vuole distruggere Hamas”. Il progetto di Trump per Gaza potrebbe essere una sorta di provocazione. In vista di un negoziato con il mondo arabo che porti alla realizzazione parziale del piano. Già nel suo primo mandato alla Casa Bianca, Trump aveva conseguito risultati sorprendenti. Aveva spostato l’ambasciata Usa a Gerusalemme da Tel Aviv. Riconoscendola come capitale di Israele. Una decisione storica. Aveva anche ottenuto la firma degli accordi di pace di Abramo fra Israele, Bahrain e Emirati Arabi. Allora però aveva l’appoggio della Russia di Putin, ora diabolizzata dall’Occidente per l’assurda guerra d’Ucraina. Trump ora prevede di ricucire con il leader russo. Il presidente americano è più potente che mai, e sembra determinato a cambiare la faccia del mondo.

Certo non gli dispiacerebbe un Nobel per la Pace.